Le monde des couleurs semblent avoir été mis entre parenthèses. Pour mieux faire ressurgir le trait direct comme si tous les personnages présents dans les dernières peintures n’avaient voulu que Kebe ne garde d’eux que l’essentiel. Le noir dans le blanc d’une toile.
Ibrahima Kebe nous surprend encore et toujours. On l’aime ce Kebe et sa générosité si précieuse dans un monde qui a tant besoin de recouvrer les traces de l’essentiel!
A +
… tes dessins… Ils sont très spécial mais j’adore..
Bonne journée à toi et longue vie à ton blog…
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